Mes coups de coeur
"Je partage avec vous des articles, poèmes, vidéos, citations, etc... en espérant que vous allez aimé." -Roland Lechasseur
Des plumes dispersées au vent.
Un jour, un homme se mit à calomnier le sage du village. Plus tard, il prit conscience de son erreur et se rendit auprès du sage pour lui demander pardon, affirmant être prêt à tout faire pour s'ammender.
Le sage n'exigea de sa part qu'une chose: qu'il prenne un oreiller, le déchire et en disperse les plumes au vent. Bienque déconcerté,l'homme s'exécuta puis revint auprès du sage.
"Suis-je pardonné à présent? lui demanda-t-il.
- D'abord, va ramasser toutes les plumes, lui répondit le sage.
- Mais c'est impossible! Le vent les a toutes dispersées!
-Eh bien,il est aussi difficile de réparer les torts que tu as causés par tes paroles que de récupérer les plumes."
Que retenir de cette histoire?
Une fois lâchés, les mots ne peuvent être rattrapés, et il est parfois impossible de réparer le mal qu'ils ont causé.
Si nous nous apprêtons à colporter quelque commerage, rappelons-nous que nous sommes sur le point de disperser des plumes au vent.
Un vieux conte juif
Aigle poule!!!
Une vieille légende indienne raconte
qu’un brave trouva un jour un oeuf d’aigle
et le déposa dans le nid d’une « poule de
prairie ». L’aiglon vit le jour au milieu
d’une portée de poussins de prairie et
grandit avec eux.
Toute sa vie l’aigle fit ce qu’une poule
de prairie fait normalement. Il chercha
dans la terre des insectes et de la nourriture.
Il caqueta de la même façon
qu’une poule de prairie. Et lorsqu’il volait,
c’était dans un nuage de plumes et sur
quelques mètres à peine.
Après tout, c’est ainsi que les poules de
prairie sont censées voler.
Les années passèrent. Et l’aigle devint
très vieux. Un jour, il vit un oiseau
magnifique planer dans un ciel sans nuage.
S’élevant avec grâce, il profitait des
courants ascendants, faisant à peine
bouger ses magnifiques ailes dorées.
« Quel oiseau splendide! » dit notre
aigle à ses voisins.
« Qu’est-ce que c’est ? »
« C’est un Aigle, le roi des oiseaux, »
caqueta sa voisine. Mais il ne sert à rien
d’y penser à deux fois. Tu ne seras jamais
un aigle. »
Ainsi l’aigle n’y pensa jamais à deux
fois.
Il mourut en pensant qu’il était une
poule de prairie.
Exemple de persévérence
Découvrez l'histoire émouvante de ce soldat qui a été blessé durant la guerre du Golfe. Handicapé il ne pouvait plus ni marcher ni courir. Son dos et ses genoux avaient trop souffert. Il a pris du poids. Beaucoup de poids. Dans ses conditions il lui était quasiment impossible de pratiquer une activé physique et les médecins lui ont répété pendant 15 ans qu'il ne remarcherait jamais sans l'aide d’attelés et de cannes...
Jusqu'au jour où il a rencontré un professeur de yoga qui l'a aidé. Petit à petit il a appris les postures. Il a lutté pour se relever chaque fois qu'il tombait. Il a perdu du poids et n'a plus jamais abandonné sa quête de pouvoir remarcher sans aide et peut être même un jour... courir de nouveau.
Si vous avez un handicape, si vous rencontrez des difficultés ou si vous avez des kilos en trop que vous croyez ne jamais pouvoir éliminer, regardez cette vidéo. Le succès de cet homme va vous encourager à croire en vous. Perdre quelques kilos, ou même perdre beaucoup de poids, remarcher après une grave blessure, etc. Vous êtes capable de tout cela si vous croyez en vous-même et n'abandonnez jamais.
L’histoire du crayon
Le petit garçon observait son grand-père en train
d’écrire une lettre. A un moment donné, il demanda :
« Est-ce que tu racontes une histoire qui nous est
arrivée ? Et est-ce que par hasard cette histoire parle
de moi ? »
Le grand-père arrêta d’écrire, sourit, et dit à son
petit-fils :
« Oui, ça parle de toi, c’est vrai. Mais le crayon
dont je me sers est plus important que les mots que
j’écris. J’espère que tu lui ressembleras quand tu seras
grand ? »
Le garçon examina l’objet avec curiosité, mais ne
lui trouva rien de particulier.
« C’est un crayon comme tous les crayons que j’ai
vu dans ma vie ! »
« Tout est dans la façon de regarder les choses. Ce
crayon recèle cinq qualités qui, si tu parviens à les
posséder pour toi-même, feront de toi un être en paix
avec le monde. »
« Première qualité : tu peux faire de grandes
choses, mais tu ne dois jamais oublier qu’il existe
une main qui guide nos pas. Cette main nous
l’appelons Dieu. Et il doit toujours pouvoir la diriger
selon sa volonté. »
« Seconde qualité : de temps en temps, il me
faut arrêter d’écrire pour utiliser un taille-crayon.
Cela fait un peu souffrir le crayon, mais il en
sort plus affûté. Ainsi faut-il que tu apprennes à
endurer certaines douleurs, car elles feront de toi
une meilleure personne.»
« Troisième qualité : le crayon te laisse
toujours la possibilité d’utiliser une gomme pour
effacer ce qui ne va pas. Tu dois comprendre que
d’effacer quelque chose que l’on a fait n’est pas
nécessairement mal, et que ça peutêtre quelque
chose d’important pour rester sur le droit chemin.
« Quatrième qualité : ce qui importe vraiment
dans ce crayon, ce n’est pas le bois ou la forme
extérieure, ce qui compte c’est la mine à l’intérieur.
Alors, fait bien attention, toujours, à ce qui se passe
en toi. »
« Enfin, cinquième qualité du crayon : il
laisse toujours une trace. De la même façon, sache
que tout ce que tu feras dans ta vie laissera des
traces et qu’il faut essayer d’être conscient de
chacun de tes actes.
Source
Paulo Coelho
Le pouvoir de l’engagement de Goethe
En ce qui concerne tous les actes d’initiatives et de créativité, il est une vérité élémentaire dont l'ignorance a des incidences innombrables et fait avorter des projets splendides. Dès le moment où on s'engage pleinement, la providence se met également en marche.
Pour nous aider, se mettent en oeuvre toutes sortes de chose qui sinon n'auraient jamais eu lieu. Tout un enchaînement d'évènements, de situation et de décision crée en notre faveur toutes sortes d'incidents imprévus, des rencontres et des aides matérielles que nous n'aurions jamais rêvé de rencontrer sur notre chemin.
Tout ce que tu peux faire ou rêver de faire, tu peux l'entreprendre. L'audace renferme en soi génie, pouvoir et magie.
Débute maintenant.
LE PETIT GARÇON QUI AVAIT MAUVAIS CARACTÈRE
Histoire du petit garçon.
Son père lui donna une boîte de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.
Son père lui donna une boîte de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.
Le premier jour, le jeune
garçon planta 37 clous derrière la clôture.
Les semaines qui suivirent, à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture...
Les semaines qui suivirent, à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture...
Il découvrit qu'il était
plus facile de contrôler son humeur que d'aller planter des clous derrière la
clôture...
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée.
Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur.
Les jours passèrent et le jeune homme peut finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture.
Son père le prit par la main et l'amena à la clôture.
Il lui dit: "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même.
À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours.
(Auteur inconnu)
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée.
Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur.
Les jours passèrent et le jeune homme peut finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture.
Son père le prit par la main et l'amena à la clôture.
Il lui dit: "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même.
À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours.
(Auteur inconnu)
C’est l’histoire d’un vieil homme et de son fils…
Dans une époque reculée, un vieil homme, fermier de son état, et son fils, vivaient seuls.
Ils étaient pauvres, et leur seul possession de valeur était une seule et unique jument qui avait déjà vu passer quelques hivers.
Un matin, le vieillard sort pour nourrir sa jument et s’aperçoit avec horreur que celle-ci s’est enfuie pendant la nuit.
D’autres fermiers passent devant chez lui et le plaignent.
“Toi, tu es pauvre. Tu n’as vraiment pas de chance ! Tu as perdu la seule possession de valeur dont tu disposais !”
Le vieil homme fronce les sourcils, et sa journée est clairement plus que fichue. Il vaque à ses occupations avec son fils et part travailler dans les champs.
Le soir, alors qu’il revient éreinté d’une longue journée de labeur, qu’elle n’est pas sa surprise de voir que sa jument est revenue et s’ébroue sagement dans son enclos accompagnée d’un fier étalon sauvage à qui elle a définitivement tapé dans l’oeil !
D’autres fermiers passent devant chez lui et le congratulent.
“Toi, tu es pauvre, mais pas pour longtemps à ce rythme ! Tu as vraiment de la chance ! Cet étalon est magnifique.”
Le vieil homme est comblé et son fils est émerveillé devant la magnificence de cet étalon.
Le lendemain matin, le fermier se réveille en sursaut au son des cris de douleur de son fils ! Celui-ci s’était levé pour admirer l’étalon et tenter de commencer son dressage. Le cheval, fougueux, l’avait renversé violemment en lui cassant la jambe.
D’autres fermiers pères et fils qui passaient par là, observent le vieillard qui porte secours à son fils et le plaignent.
“Toi, tu es pauvre… Et ta situation ne risque pas de s’améliorer. Tu vas devoir travailler tout seul dans les champs maintenant. Il va falloir du temps avant que ton fils soit guéri. Tu n’as vraiment pas de chance…”
Abattu… Le vieillard part travailler une fois son fils mis au lit. Il va devoir maintenant assumer seul le labeur de la ferme.
Le soir, alors qu’il revient exténué d’une journée de travail seul dans les champs, le vieil homme apprend que la guerre est déclarée. Tous les hommes et les jeunes gens en âge et en condition de porter les armes sont mobilisés.
Il est trop vieux pour cela, mais son fils, sans l’accident aurait sans doute été enrôlé ! Il n’en est rien, car ne pouvant plus marcher, il est naturellement écarté.
D’autres fermiers, pères dont les fils sont partis au combat, passent devant chez lui et l’observent avec envie…
“Toi, tu es pauvre… Mais tu as chez toi la plus grande richesse du monde ! Ton fils. Nous, nous ne reverrons sans doute jamais nos enfants qui sont partis à la guerre… Tu as vraiment de la chance !”
"La morale de cette histoire est simple… Les évènements ne sont jamais ni vraiment “bons” ni vraiment “mauvais”. Tout est question d’interpretation et de la vision d’ensemble que l’on peut avoir sur eux."
À moitié plein ou à moitié vide, le verre d'eau?
Inscription à :
Articles (Atom)